Taisez vous !!!! Vous n’êtes que la création des maîtres faussaires, et usurpateurs. Vous n’êtes que les fèces laissés sur les décombres d’une guéguerre minable et fratricide où la grande perdante fût la morale et la probité.
De cette vermine vous êtes nés. Maudits par tout le monde, vous avez pu subsisté comme des cafards, grâce à votre agilité mais surtout votre perfidie. Frustrés par vos origines et par votre petitesse, vous vous êtes armés d’une voracité saillante. En cogitant dans tous les sens, vous avez aspiré à une mutation moins affligeante. Mais tout ce que que vous avez produit n’est que de la pisse au vent, qui tellement elle est abondante, que là où vous regardez, vous ne voyez que le reflet de vos sales gueules de têtards, vilains et répugnants. Advienne que pourra, et hâtivement vous vous êtes approprié sans grande peine l’espace. En fait, vous n’avez fait que polluer un vide.
Pour casser l’ennui de leur congé vos créateurs, reviennent par intermittence s’enquérir de l’étendue de leur acte. Ils n’ont pas de tourment à se faire, car comme dirait Brel, chez ces gens là Monsieur, on se lamente pas Monsieur, on ne pleure pas Monsieur,… on se réjouie !!!
Vos maitres gazouillards ne se fatiguent point dans ce jeu sarcastiques. Ils continuent de nous envenimer les tampons par des discours fallacieux en croyant nous dissimuler l’effritement de la citadelle qu’ils ont spoliée. Le jeu est en réalité une question de survie pour eux.
Ils se lamentent sur le ratage alors qu’au fond d’eux même ils se réjouissent de l’exploit. Ils crient au complot alors que toute cette mascarade n’est que leur œuvre funeste. Ils dénoncent par guignoles interposés des traitres en prenant les autres pour des amnésiques voire des débiles.
Taisez vous par la grâce de dieu, votre heure sonnera inéluctablement, car là où vous ne serez jamais, il y a de braves gens qui dans leur cœur ont préservé l’héritage que vous avez cru dépouillé. Et chez ces gens là Monsieur, on ne mange pas Monsieur, on ne vole pas Monsieur,…On donne et on se sacrifie.
Nasreddine SAYAD
Pour casser l’ennui de leur congé vos créateurs, reviennent par intermittence s’enquérir de l’étendue de leur acte. Ils n’ont pas de tourment à se faire, car comme dirait Brel, chez ces gens là Monsieur, on se lamente pas Monsieur, on ne pleure pas Monsieur,… on se réjouie !!!
Vos maitres gazouillards ne se fatiguent point dans ce jeu sarcastiques. Ils continuent de nous envenimer les tampons par des discours fallacieux en croyant nous dissimuler l’effritement de la citadelle qu’ils ont spoliée. Le jeu est en réalité une question de survie pour eux.
Ils se lamentent sur le ratage alors qu’au fond d’eux même ils se réjouissent de l’exploit. Ils crient au complot alors que toute cette mascarade n’est que leur œuvre funeste. Ils dénoncent par guignoles interposés des traitres en prenant les autres pour des amnésiques voire des débiles.
Taisez vous par la grâce de dieu, votre heure sonnera inéluctablement, car là où vous ne serez jamais, il y a de braves gens qui dans leur cœur ont préservé l’héritage que vous avez cru dépouillé. Et chez ces gens là Monsieur, on ne mange pas Monsieur, on ne vole pas Monsieur,…On donne et on se sacrifie.
Nasreddine SAYAD
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